Le matin, un peu inquiets, nous cherchons à nouveau la gare. En fait, l'entrée, finalement à trois minutes de l’hôtel, ressemble davantage à un palais de la Renaissance avec colonnade et statues.
Ensuite balade le long du port un peu gâchée par la sopraelevata, une autoroute surélevée qui traverse la ville.
Au passage, une scène traditionnelle en Italie : la petite fête organisée pour les diplômés récents. Bouquets de fleurs, photos avec les uns et les autres...
Un must à Gênes : la montée par l'ascenseur Bigo construit par Renzo Piano en contrepoids de la charpente du hall des expositions.
Puis le circuit touristique classique : palais San Giorgio, cathédrale San Lorenzo (Rubens, dorure, logo en forme de grill, histoire de rappeler le martyr du dédicataire).
Église du Gèsu, véritable délire baroque avec dorures et peintures tourmentées.
Le Palais ducal:
Les 2 salles de bal |
Quelques graffitis |
Pique-nique dans le jardin du Musée d'art oriental, plus fort que les Buttes Chaumont avec ses rocailles en ciment sa grotte et sa cascade artificielles.
Retour à l’hôtel par la via Garibaldi où, lors de la visite du Palazzo Campanella, transformé en "concept store" de design de luxe située au 12, nous croisons deux connaissances de Grambois, chevilles ouvrières du festival Durance Luberon, Luc et Vladik. 600 m2 consacrés à la présentation d'objets "uniques et raffinés"
La visite touristique continue dans les petites rues puis la place San Matteo, le palais Doria et l’église attenante (Style Renaissance génoise caractérisé par un décor fait de rayures grises et blanches), la place aux Herbes et ses bars minuscules. jusqu'à la tour Embriaci (le plus vieux monument de Gênes) en passant par Santa Maria Della Passion et San Donato.Jusqu'à la tour Embriaci (le plus vieux monument de Gênes) en passant par Santa Maria Della Passion et San Donato.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire