Quand Goliath rencontre David, ainsi commence la critique :
J’ai toujours eu un petit faible pour les premiers romans, chacun d’eux
nous conduit, en général, sur des chemins inconnus avec l’audace d’un
regard frais : une naïveté un peu candide, parfois. Dans ce roman,
Jean-Pierre Cendron, prend le risque de frôler le précipice en le
situant dans l’ex URSS communiste, fermée sur ses principes aux regards
extérieurs. C’est un voyage dans un monde clos à notre entendement, mais
un regard lucide sur ce qui fut.
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